Un médecin du Bas du Fleuve se questionne… et questionne le ministre de l’Éducation!
(Les 19 questions d’un Médecin au Ministre Drainville)
- Quelle influence exerce l’ONU, l’UNESCO dans le contenu des programmes scolaires au Québec?
- Se peut-il que l’influence prépondérante de ces organisations internationales dans les programmes scolaires (Au Québec et à l’international) entre en conflit avec les valeurs de la société québécoise ?
- La période 6-12 ans dans le développement psycho-sexuel des enfants est qualifiée de période de latence. La promotion des activités sexuelles et de la théorie du genre à cet âge tel que promu par l’UNESCO dans leurs documents officiels n’est-elle pas contre nature et nuisible ?
- Au Québec, a-t-on soumis cette question à un comité d’éthique indépendant?
- Au Québec, a-t-on soumis le contenu de ce programme de l’enseignement de la sexualité à l’école primaire à un comité indépendant ? (Indépendant = Professionnels à l’abri de toute pression économiques sectaire, militante ou activiste).
- Au point de vue de la loi, les parents délèguent une partie de leurs droits parentaux à l’école en ce qui concerne l’instruction et l’éducation scolaire. En autorisant des groupes activistes à intervenir directement dans l’éducation de nos enfants sans exiger d’eux aucun diplôme ou certificat de compétence pédagogique–????,ouvre-t-on une brèche dans l’intégrité et la probité de notre système scolaire ?
- Trahit-on ainsi la confiance des québécois qui délèguent une partie de leurs droits parentaux au système scolaire ?
- Le ministre de l’éducation a-t-il consulté les communautés allophones au sujet du contenu proposé du programme d’éducation au primaire ?
- Le ministre de l’éducation a-t-il volontairement dissimulé ces programmes aux yeux de la population et a fait en sorte de l’imposer comme un « fait accompli » ? Notamment en retardant la publication de toute documentation concernant ce programme jusqu’à son application obligatoire?
- Pourquoi cette précipitation dans l’application de ce programme, précipitation qui contourne toute consultation populaire ?
- Le ministre de l’éducation peut-il nous dire ce qu’est la « théorie du genre » ?
- Sur quelles bases repose cette théorie du genre ?
- Où trouve-t-on dans les publications du ministère de l’éducation ces informations afin que la population québécoise soit informée de ce que l’on a décidé d’inculquer à nos enfants à ce sujet dès le primaire?
- Le principe d’inclusion et d’ouverture mis de l’avant signifie-t-il l’exclusion des valeurs religieuses que prônent plus de 50% de la population québécoise issue des communautés allophones et des communautés religieuses (musulmanes, protestantes, catholiques, orthodoxes juives) ?
- Le terme d’inclusion est-il utilisé par le ministre de l’inclusion à des fins toutes autres et même aux antipodes de son vrai sens ?
- L’éducation est primordiale puisqu’elle est le creuset d’où émergeront les générations futures qui constitueront le socle de la société québécoise.
- Depuis l’élimination des commissions scolaires et par conséquent de la « voix au chapitre » des citoyens en ce qui concerne l’éducation, comment le ministre s’est-il assuré que le contenu des programmes scolaires s’harmonise avec les valeurs identitaires de la future société québécoise?
- En autorisant l’ONU et l’UNESCO à dicter le contenu des programmes scolaires notamment celui dit « Culture et Citoyenneté québécoise », sanctionne-t-on au Québec l’abolition des valeurs qui le distingue ?
- Sanctionne-t-on le nivellement, la fusion des identités culturelles où aucune société ne se distingue d’aucune autre ?
René Lavigueur MD