Un médecin du Bas du Fleuve se questionne… et questionne le ministre de l’Éducation!

(Les 19 questions d’un Médecin au Ministre Drainville)

  1. Quelle influence exerce l’ONU, l’UNESCO dans le contenu des programmes scolaires au Québec?
  2. Se peut-il que l’influence prépondérante de ces organisations internationales dans les programmes scolaires (Au Québec et à l’international) entre en conflit avec les valeurs de la société québécoise ?
  1. La période 6-12 ans dans le développement psycho-sexuel des enfants est qualifiée de période de latence.  La promotion des activités sexuelles et de la théorie du genre à cet âge tel que promu par l’UNESCO dans leurs documents officiels n’est-elle pas contre nature et nuisible ?
  2. Au Québec, a-t-on soumis cette question à un comité d’éthique indépendant? 
  3. Au Québec, a-t-on soumis le contenu de ce programme de l’enseignement de la sexualité à l’école primaire à un comité indépendant ? (Indépendant = Professionnels à l’abri de toute pression économiques sectaire, militante ou activiste).
  4. Au point de vue de la loi, les parents délèguent une partie de leurs droits parentaux à l’école en ce qui concerne l’instruction et l’éducation scolaire. En autorisant des groupes activistes à intervenir directement dans l’éducation de nos enfants sans exiger d’eux aucun diplôme ou certificat de compétence pédagogique–????,ouvre-t-on une brèche dans l’intégrité et la probité de notre système scolaire ?
  5. Trahit-on ainsi la confiance des québécois qui délèguent une partie de leurs droits parentaux au système scolaire ?
  6. Le ministre de l’éducation a-t-il consulté les communautés allophones au sujet du contenu proposé du programme d’éducation au primaire ?
  7. Le ministre de l’éducation a-t-il volontairement dissimulé ces programmes aux yeux de la population et a fait en sorte de l’imposer comme un « fait accompli » ? Notamment en retardant la publication de toute documentation concernant ce programme jusqu’à son application obligatoire?
  8. Pourquoi cette précipitation dans l’application de ce programme, précipitation qui contourne toute consultation populaire ?
  9. Le ministre de l’éducation peut-il nous dire ce qu’est la « théorie du genre » ?
  10. Sur quelles bases repose cette théorie du genre ?
  11. Où trouve-t-on dans les publications du ministère de l’éducation ces informations afin que la population québécoise soit informée de ce que l’on a décidé d’inculquer à nos enfants à ce sujet dès le primaire?
  12. Le principe d’inclusion et d’ouverture mis de l’avant signifie-t-il l’exclusion des valeurs religieuses que prônent plus de 50% de la population québécoise issue des communautés allophones et des communautés religieuses (musulmanes, protestantes, catholiques, orthodoxes juives) ?
  13. Le terme d’inclusion est-il utilisé par le ministre de l’inclusion à des fins toutes autres et même aux antipodes de son vrai sens ?
  14. L’éducation est primordiale puisqu’elle est le creuset d’où émergeront les générations futures qui constitueront le socle de la société québécoise.
  15. Depuis l’élimination des commissions scolaires et par conséquent de la « voix au chapitre » des citoyens en ce qui concerne l’éducation, comment le ministre s’est-il assuré que le contenu des programmes scolaires s’harmonise avec les valeurs identitaires de la future société québécoise?
  16. En autorisant l’ONU et l’UNESCO à dicter le contenu des programmes scolaires notamment celui dit « Culture et Citoyenneté québécoise », sanctionne-t-on au Québec l’abolition des valeurs qui le distingue ?
  17. Sanctionne-t-on le nivellement, la fusion des identités culturelles où aucune société ne se distingue d’aucune autre ?

René Lavigueur MD

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