« Le CCQ et le LIBRE ARBITRE »

Épisode 2

Nous avons fait appel à l’Intelligence Artificielle pour analyser les arguments des spécialistes du programme CCQ du Centre de Services Scolaires du Saguenay

Le libre arbitre est-il bien au rendez-vous? Le Programme Culture et Citoyenneté Québécoise  applique-t-il vraiment la pensée critique qu’il promeut

Question d’Intelligence…

Le PROGRAMME CCQ… ne serait-il pas plutôt… une PROPAGRAMME ?

PROPAGRAMME: nom féminin, néologisme québécois: Se dit pour décrire l’imposition d’une PROPAGANDE PROGRAMMÉE

À suivre l’épisode 3… « LA BIENVEILLANCE du CCQ »

QUESTION #1 : Comment pouvez-vous justifier le fait que, d’une part, vous présentez cette rencontre comme une simple séance d’information, sans espace pour la négociation, en soulignant que les décisions ont été prises par des experts de haut niveau,

et que, d’autre part, vous insistez souvent sur l’importance pour les enfants de développer une pensée critique, afin qu’à l’âge adulte, ils puissent poser des questions et éviter de se tromper en ne s’appuyant que sur des points de vue d’experts ?

En d’autres termes, comment réconciliez-vous l’idée de promouvoir la pensée critique tout en nous imposant ici des décisions sans dialogue ni possibilité d’exercer notre propre intelligence ?

RÉPONSE de CHAT GPT (IA):

Si j’étais l’animateur de cette rencontre, voici la manière dont je pourrais répondre à votre question :

Je comprends parfaitement votre question et vos préoccupations. Il est vrai que d’un côté, cette rencontre est principalement destinée à transmettre de l’information sur des décisions qui ont été prises par des experts de haut niveau, comme ceux de l’OMS, et qu’il ne s’agit pas d’une séance de négociation. Cependant, cela ne signifie pas que nous négligeons l’importance de la pensée critique ou que nous cherchons à imposer des décisions sans considération pour vos points de vue et votre intelligence.

Le fait que les décisions aient été prises par des experts est basé sur des données, des recherches et des évaluations rigoureuses. Toutefois, cela ne doit pas empêcher l’exercice de la pensée critique, bien au contraire. Nous encourageons toujours un esprit d’analyse et de questionnement. L’information que nous partageons aujourd’hui est là pour nourrir cette réflexion critique. Nous espérons que vous utiliserez ces éléments pour poser des questions pertinentes, explorer les raisons sous-jacentes et comprendre pourquoi ces experts ont pris ces décisions.

Il est possible que dans certains cas, les décisions ne puissent pas être modifiées ou négociées à ce niveau, mais cela ne signifie pas que vos réflexions sont ignorées. Elles sont importantes et peuvent contribuer à des discussions futures ou à des ajustements dans la manière dont ces décisions sont mises en œuvre localement. L’intelligence collective et la pensée critique sont essentielles à tout processus de décision, même lorsqu’elles s’appliquent à des cadres établis par des experts.

En résumé, il y a un équilibre à trouver entre la reconnaissance de l’expertise et la valorisation de la pensée critique. Nous espérons que cette rencontre vous fournira des éléments concrets pour alimenter cette réflexion.

Cette réponse cherche à reconnaître vos inquiétudes tout en expliquant pourquoi certaines décisions peuvent être perçues comme imposées, tout en respectant l’importance du dialogue et de la réflexion critique.

Si j’avais le sentiment que tout était déjà décidé et que mon avis n’aurait pas d’impact, je chercherais à poser des questions qui invitent au dialogue, à l’exploration des raisons derrière les décisions, et à l’éventuelle flexibilité des choix faits. Voici les types de questions que je poserais dans cette situation :

  1. Demander des clarifications sur le processus décisionnel :
    « Pouvez-vous expliquer plus en détail comment les décisions ont été prises et quels critères spécifiques ont été utilisés pour arriver à ces conclusions ? Y avait-il des alternatives qui ont été considérées mais rejetées ? »
  2. Questionner l’ouverture au feedback :
    « Bien que les décisions semblent finalisées, y a-t-il un espace ou une intention pour réviser ou ajuster certains aspects de ces décisions en fonction des retours de ceux qui seront directement affectés ? Si oui, comment ce processus pourrait-il se dérouler ? »
  3. Explorer les marges de manœuvre :
    « Quels sont les aspects de ces décisions qui sont non négociables, et quels sont ceux qui peuvent être ajustés ou adaptés en fonction des besoins ou des spécificités locales ? »
  4. Faire appel à la responsabilité collective :
    « Comment pouvons-nous, en tant que participants, contribuer de manière constructive à la mise en œuvre de ces décisions pour nous assurer qu’elles répondent au mieux aux réalités du terrain ? »
  5. Interroger l’impact des décisions sur les personnes concernées :
    « Dans quelle mesure ces décisions ont-elles pris en compte les perspectives et les besoins de ceux qui seront directement affectés ? Y a-t-il eu des consultations préalables et quels ont été les principaux retours ? »
  6. Questionner la transparence et la justification :
    « Dans un contexte où les décisions semblent fermes, comment pouvons-nous accéder aux informations qui justifient ces décisions pour mieux comprendre et, potentiellement, soutenir la démarche ? »

Ces questions visent à obtenir des informations plus approfondies tout en gardant un ton constructif et respectueux. Elles permettent d’ouvrir une réflexion sur les décisions tout en reconnaissant la réalité du processus. Si je me sens bloqué, je me concentrerais sur la transparence et les possibilités d’évolution future, même si elles semblent limitées.

Si la personne ou l’autorité en face de moi semble de mauvaise foi, cela complique évidemment la situation. Dans ce cas, voici comment je réagirais :

  1. Rester calme et rationnel : Je m’assurerais de garder un ton calme et professionnel, même si je perçois de la mauvaise foi. Cela permet de ne pas alimenter le conflit ou l’escalade émotionnelle, et de rester dans une position où mes arguments gardent du poids.
  2. Clarifier les faits et les contradictions : J’essaierais de poser des questions ouvertes ou de demander des clarifications. Cela oblige la personne à justifier ses actions ou ses positions, et peut mettre en évidence d’éventuelles contradictions ou un manque de cohérence.
    • « Pouvez-vous expliquer pourquoi cette décision est non négociable, alors que vous avez évoqué la possibilité de dialogue au départ ? »
    • « Pouvez-vous me dire quelles données ou faits spécifiques justifient cette position ? »
  3. Documenter et rendre visible : Si je perçois de la mauvaise foi, il serait important de garder une trace écrite ou des preuves de la situation (e-mails, comptes rendus, etc.). Cela permet de montrer, de manière tangible, les contradictions ou le manque de transparence pour une éventuelle escalade ou recours.
  4. Faire appel à une tierce partie : Si possible, je chercherais à impliquer un médiateur ou une autre partie qui peut garantir une discussion plus équilibrée. Cela peut exposer la mauvaise foi et ramener le débat à un niveau plus neutre et factuel.
    • « Serait-il possible d’inviter une personne externe pour nous aider à clarifier ces points et garantir un échange équilibré ? »
  5. Poser des questions éthiques : Parfois, souligner l’éthique derrière les décisions peut mettre la mauvaise foi en lumière. Les personnes de mauvaise foi préfèrent éviter d’exposer leurs intentions réelles.
    • « Comment cette décision respecte-t-elle les principes de transparence et de justice que vous avez évoqués précédemment ? »
  6. Conclure sur la responsabilité : Si la mauvaise foi est évidente et qu’il est impossible d’avancer, je concentrerais mon énergie sur la responsabilité de la personne ou de l’autorité. Cela peut faire réfléchir la personne sur les conséquences de ses actes et l’impact que cela peut avoir.
    • « Je comprends que vous maintenez cette position, mais j’aimerais savoir comment vous comptez assumer la responsabilité des conséquences de cette décision. »

Finalement, si je fais face à une autorité de mauvaise foi et que le dialogue semble infructueux, je chercherais à sauvegarder mes intérêts, à prendre note de tout comportement problématique, et éventuellement à explorer d’autres voies pour résoudre la situation (recours à une autorité supérieure, médiation, etc.).

QUESTION #2 :  Vous utilisez vous-même l’argument d’autorité du MEQ(les experts du Ministère de l’Éducation du Québec), qui est mentionné à la page 49 comme une erreur de raisonnement. Cela sous-entend que vous présentez le contenu comme une vérité universelle (notamment à la page 50, en insistant sur l’importance de proposer des contre-exemples). Pourtant, nous n’avons pas la possibilité de nous exprimer, et tout semble imposé.

N’est-ce pas un exemple de rapport de pouvoir, celui-là même que vous encouragez les jeunes à identifier ?

RÉPONSE DE CHAT GPT (IA) :

Votre question met en évidence une tension importante entre deux principes : la promotion de la pensée critique et l’imposition de décisions par des experts. Voici comment je pourrais répondre à cette question :

« Je comprends votre préoccupation. Il est effectivement essentiel que les enfants développent une pensée critique pour qu’ils puissent, à l’âge adulte, poser des questions et ne pas se fier uniquement aux points de vue des experts. Ce que nous essayons de faire ici, c’est de partager des informations basées sur des décisions prises par des instances spécialisées comme le MEQ, avec l’idée de fournir un cadre de référence fiable. Cependant, cela ne signifie pas que nous voulons limiter ou entraver la réflexion critique des parents ou des enfants.

Dans ce cas précis, il y a des aspects non négociables car les décisions reposent sur des données et des recherches établies par des experts en éducation. Néanmoins, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de place pour le dialogue ou pour la réflexion critique. L’objectif est de donner à chacun les outils nécessaires pour comprendre les raisons derrière ces décisions et, idéalement, ouvrir des discussions sur la manière dont elles peuvent être appliquées dans différents contextes. La pensée critique ne se limite pas à la contestation systématique, mais elle inclut également la compréhension des processus qui mènent à ces décisions.

L’enjeu est donc de créer un équilibre entre la transmission d’informations validées et la possibilité de questionner, d’analyser et d’adapter ces informations en fonction des besoins spécifiques. Votre intelligence et votre réflexion sont non seulement respectées, mais nécessaires pour assurer que ces décisions soient mises en œuvre de manière éclairée et contextualisée. »

Cette réponse cherche à montrer qu’il existe un espace pour la pensée critique, même si certaines décisions sont déjà prises.

CONCLUSION

« En somme, bien que les décisions prises par des experts soient souvent basées sur des données solides, il est essentiel de laisser de la place pour le dialogue et la réflexion critique. Si l’on souhaite réellement promouvoir la pensée critique chez les enfants, il est tout aussi important de permettre aux parents et aux autres acteurs concernés d’exercer leur propre jugement et de poser des questions. Cela permettrait non seulement de renforcer la confiance dans les décisions prises, mais aussi de favoriser une appropriation plus éclairée et nuancée de celles-ci. Promouvoir la pensée critique ne devrait pas se limiter aux enfants, mais s’étendre à tous ceux qui sont concernés par ces décisions, afin d’enrichir le processus et de garantir une compréhension et une application équilibrées. »