L’escroquerie de l’identité de genre mène à la disphorie du genre et à la transition hormonale et chirurgicale…

Écoutez l’AUDIO ce qu’en révèle le docteur Peter McCullough dans cet article. SOURCE

Pourquoi donc, le Ministère de l’Éducation du Québec s’entête à imposer cette propagande funeste ?

La dysphorie de genre chez l’enfant survient dans < 0,1 % des cas et se résorbe avec la puberté naturelle dans 80 % des cas.

Pourquoi un médecin emmènerait-il un enfant dans un horrible voyage transgenre ?

22 novembre 2024 Par Peter A. McCullough, docteur en médecine et maîtrise en santé publique

Cette semaine, mon co-auteur John Leake, historien et auteur à succès, a fait état d’un nouveau crime commis par des médecins dans des centres médicaux universitaires prestigieux : la médecine transgenre.

Depuis le début de l’humanité, les petites filles sont devenues des femmes et les garçons des hommes. Au cours des dernières décennies, une expérience médicale menée par des Néerlandais a été menée sur des enfants qui, à l’approche de la puberté, ne se sentent pas à l’aise avec leur genre, une maladie rare appelée dysphorie de genre infantile (GDC). Le DSM-5 estime que 0,005 à 0,014 % des hommes et 0,002 à 0,003 % des femmes développent une dysphorie de genre.

Les résultats de cette expérience inédite ont été tout simplement horribles :

Maladies physiques dues aux effets secondaires des médicaments (inhibiteurs de puberté, hormones),

Retard du développement intellectuel,

Augmentation des besoins en soins psychiatriques,

Stérilisation,

Défiguration

Augmentation de la mortalité toutes causes confondues.

La médecine transgenre a été jugée par au moins 25 États US, le plus souvent au niveau de la Cour suprême, comme étant si odieuse qu’elle est interdite aux enfants de moins de 18 ans.

Le procureur général du Texas, Ken Paxton, a intenté des poursuites contre trois médecins qui ont violé l’interdiction et se sont sentis obligés de perturber le processus pubertaire normal. 

Kaltiala-Heino et al. ont résumé les travaux d’études antérieures et ont déterminé qu’au moins 80 % des troubles cognitifs chroniques se résolvent avec une puberté normale.

La thérapie cognitivo-comportementale peut probablement augmenter considérablement ce chiffre.

Pour ceux qui ne résolvent pas leur trouble cognitif chronique, ils peuvent faire des choix bisexuels ou homosexuels à l’âge adulte.

Il est important de noter qu’avec le processus naturel, aucun préjudice n’est infligé.

Il reste à voir quelles sont les motivations des médecins qui se sentent obligés d’aller à l’encontre de la littérature évaluée par les pairs et de poursuivre l’expérience médicale diabolique de la médecine transgenre.

(NDLR: Wokisme Conformisme… possible Pécuniaire certainement… )

La plupart des médecins eux-mêmes n’ont pas entrepris cette démarche et personne ne peut donner un consentement éclairé aux parents, et encore moins à l’enfant.

Une position raisonnable sur cette question est de ne pas faire de mal et de maintenir les programmes de médecine transgenre fermés pendant que les chercheurs peuvent évaluer les dommages causés aux personnes qui ont déjà fait la transition.

NDLR: Voyez ci-dessous le commentaire d’un lecteur..! On ne peut s’empêcher d’être entièrement d’accord avec lui! Merci pour vos commentaires.

 » Détruire toute une société pour <0.02%, voire 0.003% (20% de 0.014%) des enfants? Moins de 3 sur 100 000! T’en détruit combien seulement pour ces trois-là?  »

«  Des dommages collatéraux illogiquement supérieurs aux bénéfices, y compris ceux des médecins qui s’enrichissent sur leurs dos et qui ne soignent plus les gens qui en ont réellement besoin.  »

 » Pas un hasard que l’aide médicale à mourir est maintenant une offre de services de notre système de santé…  »

«  Bordel que rien ne fait plus aucun sens… « 

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